dimanche 3 avril 2016

CHUTES D IGUAZU COTE BRESILIEN

Bon ben voilà j y suis à mes supers méga chûtes que je voulais tant revoir. Après un copieux PDJ direction la gare routière non loin de là pour prendre le bus 120 le même qui dessert l aéroport. Une bonne trentaine de minutes pour se rendre aux chûtes encore une fois une partie du trajet debout à être trimballer de droite et de gauche. Enfin une place s'est libérée et c'est pas mécontente que je m'y suis précipitée.Tout le monde empreinte ce bus pour aller travailler aussi et il y avait d'ailleurs bcp d'employés du parc. En tous cas une chose qui ne risque pas d'"arriver en France mais que j'ai bcp remarqué ici que ça soit dans le métro ou dans le bus, la politesse des jeunes envers les personnes âgées, les femmes enceintes... les jeunes se lèvent pour laisser leur place assise ! respect.

Arrivée au parc l'on a pris à l intérieur un bus à double étage pour se rendre au niveau des chûtes. Et là l'on emprunte le petit sentier qui longe le fleuve et les chûtes se situent sur le côté opposé soit en Argentine.Il est recommandé de visiter en premier le côté brésilien car moins spectaculaire que le côté argentin. Ceci dit c'est magnifique. Et j'ai été extasiée. Il n y a pas grand chose à raconter en détails les photos et vidéos parlent plus que les écrits. Ces chûtes sont justes totalement magiques. En fin de balade si on le désire on peut prendre un ascenseur pour avoir un super point de vue à quelques mètres d une chûte vertigineuse. J y ai pris tout mon temps à faire cette balade environ trois heures.















Puis ensuite je suis allée au parc aux oiseaux, en pleine forêt. Des oiseaux dans des volières logique, mais certaines que l'on traverse principalement la toute dernière où évoluent des dizaines de perroquets. Moi qui suis raide dingue des perroquets j'aurais pu y rester des heures. Au milieu de ce parc aux oiseaux un endroit divin pour siroter un jus de fruits frais mixé assise sous les arbres. Je n'avais plus envie de décoller de ce parc en pleine forêt.







Chaleur accablante retour par le bus 120